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    Mercredi 17 Janvier 2018 Abidjan,la première journée #ADW


    E-GOUVERNANCE, LE RETARD DE L'AFRIQUE

    Cette première journée de l’AFRICAN DIGITAL WEEK c’est dérouler autour de 5 panels et 4 atelier avec des différents thèmes. Les experts en la matière ont exposés face à un public déterminé et curieux.

    La digitalisation de la gouvernance en Afrique est au centre des échanges lors de la première journée de l’African digital week qui se tient à Abidjan au palais de la culture de treichville dans la salle KODJO Ebouclé. Tisser sa toile numérique en esquivant les erreurs des devanciers, Les panélistes et les participants sont d’accord pour percevoir le retard de l’Afrique par rapport à l’occident, en la matière, comme une opportunité de développement. notamment en termes de protection des données.  Les participants au troisième panel de la première journée de l’African digital week partagent cet avis. Si l’Afrique est en retard par rapport à l’occident, 25 ans après l’entrée du numérique, il ne faut pas être pessimiste.  C’est ce qui ressort du thème « e-gouvernance et la participation citoyenne en Afrique ».


     

    « le retard doit être perçu comme une opportunité car c’est une possibilité pour mieux se projeter. En termes de protection des données, les technologies les plus récentes sont les plus efficaces et les moins coûteuses », estime le panéliste Bouraima Traoré, manager senior équipe planification chez Orange Côte d’Ivoire Il étaye son argumentation par le fait  que les devanciers occidentaux sont en train de réadapter le matériel, alors qu’en Afrique, on se numérise avec les technologies récentes. Pour M. Traoré, pour atteindre la e-gouvernance, le contenu est un challenge. Aussi, faut-il tenir compte de la façon de communiquer les projets à la population, se référant à l’open data. Le panéliste indique que la vision d’Orange est la modernisation de projets. Aussi la maison participe au développement du numérique par la mise en place d’infrastructures, de data center.



    Le second panéliste, Cissé Kane, président de l’organisation panafricaine de la société civile africaine sur la société de l’information observe un retard au niveau des municipalités, de la recherche d’emploi, les pièces d’état civil il soutient sa thèse selon laquelle « L’Afrique a encore du retard qui empêche la participation citoyenne (…) Il faut quitter le piédestal  d’utilisateur pour être acteur »ce qui signifie qu’il faut aller au-delà du mobile pour la connectivité en favorisant les câbles, la fibre optique, le satellite. M. Kane suggère plus d’investissement pour incruster les TIC dans les habitudes, dans le tissu social. Pour ce faire, les panélistes insistent sur la nécessité de former et de sensibiliser la jeunesse.


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